Jory Pradelle retrouve chez Edward Hopper, une notion sur laquelle il travaille depuis toujours : donner l’illusion de la simplicité, autrement dit que la maîtrise d’une oeuvre soit telle que celle-ci  s’impose comme une évidence. Dans ces peintures, le sens de la composition, de la couleur, les études de mouvements font écho à l’univers personnel de Jory Pradelle.

Depuis toujours et encore aujourd’hui, le tapis porte en lui un langage codé qui en fait beaucoup plus qu’un objet décoratif.  Sur ce thème on peut consulter l’ouvrage de Jean Michel Testard « la symbolique dans le tapis kilim » dans lequel il parle du langage des signes de tissage chez les nomades afghans qu’il a découvert dans les années 1960 et qu’il présente comme le « fragment d’un langage oublié ».

En cette douce fin d’été, au bout du pont de la Terrade à Aubusson, la restauration de l’octroi se termine. Cette année, dans le cadre des journées du patrimoine, le musée du carton de tapisserie ouvrira, pour la première fois, ses portes. N’hésitez pas à venir découvrir tout à la fois une restauration parfaitement maîtrisée et une collection exceptionnelle de carton de tapisserie. Nul doute que là, en bordure de Creuse, vous prendrez le temps de découvrir les secrets d’un tel patrimoine.

Les amateurs d’art décoratif découvriront cette année, en se rendant dans les trois manufactures nationales des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie dans le cadre des Journées du Patrimoine et sur le thème des patrimoines cachés, des oeuvres tissées  jamais présentées au public à ce jour. Ils assisteront par la même occasion à des démonstrations de restauration de pièces anciennes, tapis et tapisseries, et ils y découvriront les dernières créations en cours.